L’Académie des arts de l’École secondaire catholique Béatrice-Desloges est un programme arts-études offert aux élèves de la 7e à la 12e année. Lancé à la rentrée 2021 en pleine pandémie, le programme a déjà séduit plus de 600 élèves. Des élèves qui ont été fiers de porter haut les couleurs de l’Académie le 9 mars dernier, alors que Conseil des écoles catholiques du Centre-Est (CECCE) dévoilait les précieux collaborateurs qui ont choisi de s’associer au programme. Dans les mois prochains, les élèves de l’Académie des arts auront la chance de bénéficier de l’expertise et des ressources de grands noms associés au milieu artistique*. Parmi eux, nous pouvons évoquer deux professeures agréées de l’Université du Québec en Outaouais (UQO) pour une résidence de recherche-création en lien avec le graphisme citoyen, ou encore deux artistes invités de la France et de l’Argentine, qui vont initier les élèves à la sérigraphie.
L’École nationale de l’humour certifiera quant à elle plus de 100 heures de cours aux élèves. « Il est tout à fait normal de garder cette proximité et ces échanges nourrissants de part et d’autre et de continuer à entretenir ce mutualisme si précieux », affirme Louise Richer, directrice générale fondation de l’École nationale de l’humour.
« Que l’Académie des arts puisse s’associer à ces grands noms renforcera certainement sa notoriété et l’excellence de sa réputation et de ses enseignements. » témoigne quant à elle Johanne Lacombe, présidente du CECCE.
Pour célébrer ces nouveautés ainsi que l’Académie, les élèves ont présenté avec fierté des numéros d’humour, de théâtre et de musique, en plus d’assurer l’animation de l’événement. Une occasion d’offrir un aperçu de l’étendue du talent artistique des élèves et des enseignements de grande qualité qui y sont dispensés. L’événement a également été ponctué de témoignages d’anciens élèves.
Cet événement est aussi le moyen de faire s’épanouir les élèves comme les nouveaux collaborateurs, autour de leur passion pour les arts… « Je me réjouis de ces collaborations prometteuses qui permettront de donner du vent dans les voiles à nos jeunes artistes. Les liens privilégiés et durables qu’ils devraient tisser avec ces professionnels chevronnés peuvent les faire rêver à un avenir artistique florissant. » conclut Marc Bertrand, directeur de l’éducation du CECCE.
*L’École nationale de l’Humour, L’Orchestre symphonique de Gatineau (OSG), L’Université d’Ottawa, L’Université du Québec en Outaouais (UQO), Voix Visuelle